Tour Cycliste de Guadeloupe 2021

 

DEPART 8H30PARCOURS. N2- Départ : Vieux-Habitants Mairie – N2 Val de l’orge – BAILLIF – N2 Baillif Mairie – BASSE TERRE -N2 Giratoire des Quatres Chevaux – GOURBEYRE – N2 Blanchet Nouvelle Route, Gourbeyre Sommet, Giratoire Gourbeyre – TROIS RIVIERE -N2 Hermitage Sommet, Carrefour Sapotille – CAPESTERRE – N2 Giratoire Saint Sauveur, Sainte Marie – GOYAVE – N2 Goyave Nouvelle Route, Carrefour La Rose – PETIT BOURG – N2 Giratoire Montebello, Basse Lézarde -D1 Bretelle Colin, Vernou Sommet – D23 Giratoire Barbotteau, Mamelles Sommet – POINTE NOIRE -N2  Carrefour Mahault, Gommier Sommet  – DESHAIES – N2 Ferry – RC Ferry la coque Sommet – N2 Deshaies Eglise, Rifflet -SAINTE ROSE – N2 Plage de Clugny,Sainte Rose SDIS, Bébel ,Carrefour de Viard, Carrefour Conodor, Giratoire Boucan – LAMENTIN – N2 Bréfort, Giratoire Routa – BAIE MAHAULT – N2 Zone artisanal de Dorville, Giratoire de Wonche – D2 Fond Mouzine – LAMENTIN – D2 Pont de Borel – Arrivée Lamentin Stade.

BONILLA QUIROS Daniel, VAINQUEUR APRES UNE LONGUE ECHAPEE.

Bonilla Quiros Daniel Andres – Vainqueur du jour.

Etape difficile avec pas moins de 6 cols à passer pour ces 82 coureurs qui ont pris le départ lancé à 10h01. C’est mal parti pour Damien URCEL qui est le premier à connaître des ennuis mécaniques. Il est attendu par son frère Adrien et Largitte.

Entre temps les tentatives de sortie se multiplient, mais le peloton reste très vigilant et réagit très vite. Damien Urcel et ses coéquipiers parviennent à recoller au peloton.

Trois groupes se forment en tête de course. Dans le 1er groupe José Alarcon attaque dans la montée de Blanchet conséquence de nombreux coureurs sont déjà décramponnés (Jordan Labejof, Fendley Boyeau, ou encore, Kévin KARIOUA.)
Alarcon toujours seul en tête remporte le grand Prix de la montagne au sommet de Gourbeyre mais aussi celui de l’Hermitage. Derrière lui un groupe de chasse de 6 coureurs : Bonilla Daniel, Rivas Molina Angel, Pol Gaëtan, Jobber Jamas, Milan Jimenez et Rivera Guerrero Even.

Au 31ème km Jonction entre l’homme de tête et le groupe des poursuivants. Ils sont désormais 7 coureurs en tête, ils devancent de 15’’ 3 coureurs. Ces trois coureurs parviennent à faire la jonction, ce qui porte à dix le groupe de tête.

Nouvelle attaque d’Alarcon qui s’en va en compagnie de Bonilla Daniel ( Interja). Très rapidement l’avance du duo de tête atteint 21’’ sur le groupe de chasse et 30’’ sur le peloton maillot jaune. Au km 65 cette avance est de 3’27’’ sur le peloton du maillot jaune qui ne semble pas se soucier de cet écart. Le mieux placé des deux est Alarcon qu’il devance de 9’19’’.

Dans la Montée des Mamelles, les deux hommes donnent bonne impression et l’écart continue d’augmenter 3’48’’. Pourtant au sein du peloton maillot jaune les attaques fusent, Damien Maroni, Rivas Molina, Boris Carène, Anzola, ou encore Mora Ramirez, tous ont tenté de sortir mais le patron du ploton , le mailot jaune, Bennett Stéfan a dit non.

Au sommet des Mamelles, c’est Alarcon qui passe en tête. Derrière, nouvelle attaque de Thomas Bonnet, le maillot jaune est encore là pour revenir à son niveau. Tandis que plusieurs coureurs sont lâchés dont Kaden Hopkins (Interja), Patrick Lauk (Pro Immo), Ronald Géran (CSCA), Marcel Peschgues (ETW), Kendric Clavier…
Dans la Montée de Gommier, le maillot rose Zingle Axel s’extirpe du peloton maillot jaune qui a perdu quelques éléments. C’est Boris Carène qui tracte ce peloton amaigri.

Dans la Montée de Ferry (dernière grosse difficulté de la matinée) le duo de tête est le même, il devance de 2’06’’ Zingle Axel et de 2’30’’ le peloton Maillot jaune. Les attaques se répètent entête de peloton (Braz Afonso Clément, Leclainche Gwen ou encore Anzola, ils ont tous essayé mais le porteur de la tunique jaune était toujours là pour leur rappeler de fort belle manière que c’était lui le patron.

A ce rythme là , il était clair que le vainqueur de l’étape était sans aucun doute ou Alarcon ou Bonilla et finalement c’est ce dernier qui l’emporte devant Alarcon qui semble avoir eu un souci technique dans la dernière ligne droite.