C’est en 2006 et à l’initiative de quelques coursiers de Ponthaléry , rejoints ensuite par des Franciscains, des Vauclinois et des Marinois, tous ayant comme objectif de faire reconnaître la pratique de la yole de Martinique.
En 2017 un comité de pilotage voit alors le jour et la yole de Martinique est inscrite à l’inventaire national du patrimoine immatériel français. Sa candidature à l’Unesco avait été lancée la même année.
En 2018, Pierre Kervennal, conseiller à la délégation de la France auprès de l’Unesco, est en Martinique et soutient la candidature de la yole martiniquaise. En novembre de la même année le dossier est présenté au ministère de la Culture.
En 2019 sa candidature est présentée
Ce jeudi 17 décembre 2020, c’est sur le territoire du François (berceau de la yole) et plus précisément à l’Appaloosa, qu’environ deux cents personnes de la famille de la yole étaient conviées dans l’attente de la décision de l’Unesco.
Vers onze heures, les applaudissements, les larmes ou encore les cris de joie, suivaient l’annonce des présidentes de la commission de l’Unesco qui officialisaient l’inscription de la yole de Martinique au patrimoine immatériel mondial de l’Unesco dans le registre des bonnes pratiques,